La lecture des premiers livres d’Antoine de la Garanderie pendant l’été 1983 a été une véritable révélation : son humanisme faisait écho aux valeurs transmises par mes parents, ses propositions pédagogiques me sauvaient du désespoir de ne pas savoir aider mes élèves.

Depuis, ma vie, mon activité professionnelle sont totalement imprégnées par « l’attitude Gestion Mentale », et je fais mon possible pour partager ce qui m’anime depuis toutes ces années : j’ai, entre autres activités, aidé à faire vivre la GM au lycée Saint Thomas d’Aquin (Paris) depuis 1984, participé avec celui-ci au projet Conaisens, assisté à la création de l’IIGM et assuré avec plaisir diverses fonctions au sein de son CA.

Début des années 90, j’entendais pour la 1ère fois Antoine de la Garanderie lors d’une conférence à Chambéry. Véritable éclaircissement suivi d’un chamboulement total : enfin quelqu’un qui croyait en l’humain et sa capacité à s’élever, à lui-même, aux autres, au monde… et qui proposait une façon unique à chacun pour y parvenir.

Depuis, ma vie, mon activité professionnelle sont totalement imprégnées par « l’attitude Gestion Mentale », et je fais mon possible pour partager ce qui m’anime depuis toutes ces années : j’ai, entre autres activités, aidé à faire vivre la GM au lycée Saint Thomas d’Aquin (Paris) depuis 1984, participé avec celui-ci au projet Conaisens, assisté à la création de l’IIGM et assuré avec plaisir diverses fonctions au sein de son CA.

C’est en 2013, dans le cadre d’un projet pour créer une école privée de formation aux métiers du digital que j’ai pris conscience du besoin des étudiants d’être davantage accompagnés pendant leurs études: j’ai spontanément nommé mon projet Apprendre à Apprendre. Après des mois de recherches et de rencontres, toutes insatisfaisantes, j’ai rencontré Claudie dans son établissement de Saint Thomas. Immédiatement, j’ai compris que j’avais trouvé la réponse que je cherchais depuis si longtemps…

Depuis, dans tous les établissements que je dirige, j’ai mis en place des ateliers pour les élèves comme pour les enseignants, qui n’ont fait que renforcer ma conviction de l’immense valeur de la Gestion Mentale. Aujourd’hui, j’ai souhaité m’engager au sein du CA de l’IIGM pour mettre au service de la Gestion Mentale mon expérience d’entrepreneur et de communicante et ainsi, participer à son rayonnement.

« Partager, échanger, m’imprégner de la richesse et de l’expertise de chacun, bénéficier d’une rigueur d’analyse, explorer ensemble la richesse qu’est la gestion mentale en restant fidèle à son esprit et aux fondements d’Antoine de La Garanderie, participer à la faire rayonner sont les élans de mon cœur.

Ma rencontre avec la gestion mentale fut première et fondatrice, je me suis rencontrée. Cette rencontre se poursuit aujourd’hui encore. À partir de là, observant l’impact du stress sur chacun, j’ai exploré une approche psychologique en me formant à la sophro-analyse, la sophrologie. En lien avec l’apprentissage, je me suis formée à la méthode Davis et à une approche corporelle à l’aide des « réflexes primitifs ». Aller à la rencontre de ces mécanismes, « ces projets qui s’installent en nous, sans nous » (A. DLG) et en prendre conscience, cette conscience réflexive si importante dans notre démarche, restent le fil conducteur de mon cheminement.

Je mène séparément mes deux activités : la première centrée sur l’apprentissage, la deuxième sur l’accompagnement thérapeutique. Mais en quoi se nourrissent-elles, se teintent-elles ? Comment, pourquoi ? Quel serait l’apport de la Gestion Mentale, y aurait-il des ponts à faire ? Tout en restant dans le cadre bien défini de la Gestion Mentale, c’est avec ces interrogations, nourrie de mes expériences de praticienne que j’ai rejoint cette belle aventure qu’est l’IIGM où je participe à des groupes de travail. J’y occupe le poste de trésorière. »

Enseignante en Belgique depuis de longues années, je me suis toujours investie dans le soutien des élèves en difficultés. J’ai rencontré la Gestion Mentale dans ce cadre, mais malheureusement assez tard. Certifiée récemment (janvier 2023), je pratique la Gestion Mentale dans mes classes, mais aussi en accompagnement individuel, principalement à l’école.

J’ai été immédiatement séduite et profondément touchée par cette pédagogie qui s’appuie sur une confiance en l’être humain et cherche à donner à chacun l’intelligence de ses moyens pour qu’il puisse s’épanouir non seulement dans ses apprentissages scolaires, mais aussi plus tard, à n’importe quel moment de sa vie, dans des projets de développement personnel.

Je suis intimement persuadée que la Gestion Mentale est un véritable cadeau à s’offrir et à offrir à autrui. C’est dans cette logique de partage que je souhaite m’investir à l’IIGM.

Initiée par ma mère à la pédagogie des gestes mentaux, je n’ai vraiment connu la théorie qu’en 2008, lors d’une formation à Paris. J’étais alors enseignante-chercheure sans véritable formation pédagogique et j’avais l’intuition que cette approche pouvait m’apporter une vision et des moyens concrets pour enseigner dans le supérieur, mais également réfléchir à ma façon de concevoir des machines d’apprentissage.

Vers 2012 j’ai croisé les neurosciences, ce qui a reconfiguré ma vie professionnelle et intellectuelle. J’ai gardé des contacts avec l’IIGM, son colloque en particulier, puis je me suis investie dans les collèges formation … afin de croiser les regards des neurosciences et de la Gestion Mentale. Je suis maintenant formatrice en neurosciences éducatives, présidente adjointe de GRENE Monde et chercheure associée à l’Institut Catholique de Toulouse (TR4). Ce sont des rencontres personnelles avec des membres du CA qui m’ont donné envie de m’investir plus pour le collectif. Merci pour votre confiance dans ce poste de secrétaire.

Si j’avais rencontré la Gestion Mentale quand j’étais élève, j’aurais sans doute apprécié ma scolarité différemment et appris « sans peur.

Si j’avais rencontré la Gestion Mentale quand j’étais prof de français, j’aurais « enseigné » de manière totalement différente la grammaire, l’orthographe, la communication des idées à autrui, la compréhension des textes littéraires. En fait, j’aurais quitté mon estrade pour impulser une « pédagogie de l’entraide ».

A présent orthopédagogue certifiée en gestion mentale,  je propose aux jeunes, aux enseignants, aux parents, des applications pédagogiques concrètes de toutes ces recherches et observations d’Antoine de La Garanderie. Conseillère d’orientation, j’accompagne aussi ceux qui cherchent leur voie professionnelle en partant de leurs projets de sens cognitifs.

Entrer au conseil d’administration de l’IIGM, lieu de recherche, lieu d’échange et lieu de collecte d’expériences pratiques, est pour moi une suite logique : Les progrès rapides de l’intelligence artificielle nous mettent en effet au défi de diffuser ensemble et rapidement une bonne nouvelle : « réussir ça s’apprend » et ça se passe en développant sa vie mentale !

J’ai débuté ma carrière il y 35 ans dans la formation, domaine que je n’ai jamais quitté alors qu’en parallèle j’ai obtenu un diplôme de psychologue clinicienne du travail, métier que j’exerce depuis 20 ans. Et est le lien avec la gestion mentale ? C’est d’abord en faisant le parallèle entre les enjeux psychologiques du travail professionnel et du travail scolaire que j’ai rencontré la gestion mentale : le principe d’une pédagogie qui fait de l’apprenant, quel que soit son âge, un acteur responsable, respecté dans ses différences cognitives et impliqué dans ses apprentissages, m’a séduite et rapidement convaincue.

Je pratique auprès des jeunes, mais mon activité centrée sur la formation et l’accompagnement des adultes, m’a guidé essentiellement vers ce public : j’ai commencé par appliquer la gestion mentale dans mes formations, pour finalement devenir formatrice certifiée en gestion mentale (après la certification de praticien). Par ailleurs dans l’accompagnement de mes patients souffrant d’épuisement professionnel et de dépression la gestion mentale s’est imposée comme une aide fondamentale pour la récupération des compétences cognitives.

J’ai intégré l’IIGM en 2024 avec le souhait de participer au développement de la gestion Mentale, auprès de tous les publics et toutes situations dans lesquelles il s’agit de mobiliser ses compétences cognitives, au service du pouvoir d’agir et du mieux-être.

C’est lors d’une conférence présentée par A. de La Garanderie dans les années 1994 que tout a commencé et que j’ai eu la chance de côtoyer cet homme fort engagé lors de mes formations au Québec. J’ai été profondément interpellé par la GM qui venait enrichir mes interventions auprès des enfants ayant des troubles d’apprentissage, puis éventuellement auprès de stagiaires universitaires.

Aujourd’hui, je peux dire qu’ils ont pu faire l’expérience de leurs ressources… Ils ont pris conscience que ce dont ils souffraient, n’étaient pas le reflet de ce qu’ils étaient car ils étaient bien plus encore. Grâce aux formations que j’ai ensuite suivies en Gestion Mentale, à une profonde et ininterrompue réflexion sur « la posture » et au soutien des professionnels de mon département qui m’ont encouragée à ouvrir le cabinet, j’ai eu le privilège d’accompagner beaucoup d’autres personnes depuis… J’ai toujours gardé les mots d’Antoine De La Garanderie, comme boussole, le partage avec les autres professionnels, comme un phare éclairant… Gratitude ! Ce sentiment me porte ainsi à m’impliquer autant que je le peux afin d’œuvrer pour faire découvrir la Gestion mentale en la diffusant le plus simplement possible et au plus grand nombre dans un esprit humaniste et bienveillant. Mon projet d’interview sur la chaîne YouTube de l’IIGM va bien sûr en ce sens : Communiquer, Ouvrir, Vulgariser.

À travers mon métier d’enseignante, je suis confrontée au quotidien à des élèves à besoins éducatifs particuliers et j’ai toujours été en recherche de propositions d’accompagnements de ces jeunes. Dans les années 2000, j’ai découvert les principes de la Gestion Mentale d’Antoine de la Garanderie suite à l’intervention d’une collègue formée à la pratique du DP et aussi lors d’une formation animée par Armelle Géninet ; des réponses à mes questionnements émergeaient à travers de nouvelles pédagogies d’apprentissages.

« Rien n’est figé, tout peut évoluer et réussir ça s’apprend » : enfin une pédagogie centrée sur l’apprenant où le jeune est acteur de ses moyens de réussites…

Après ces premières belles rencontres avec la Gestion Mentale, dotée de nombreuses formations, j’anime maintenant autrement mes séances de cours et des ateliers : apprendre à l’élève à faire émerger et connaître ses stratégies mentales en partant de ses réussites pour ensuite être plus efficace dans ses apprentissages scolaires.

Aujourd’hui, j’ai souhaité rejoindre la dynamique équipe du CA de l’IIGM pour mettre au service de la Gestion Mentale mes expériences d’enseignante, de praticienne en Gestion Mentale et poursuivre mes belles rencontres…